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Antibiotiques : comment les utiliser de manière efficace ?  

Santé Publique France diffuse une campagne de sensibilisation afin de vous informer du bon usage des antibiotiques. Le slogan est « Les antibiotiques : bien se soigner, c'est d'abord bien les utiliser ». Il est notamment rappelé, dans le cadre de cette campagne, que ce type de médicaments n'est efficace qu’en cas de maladies bactériennes.

Les antibiotiques sont notamment utiles pour lutter contre :

  • une cystite ;
  • une pneumonie bactérienne ;
  • une angine bactérienne (afin de savoir si vous souffrez d’une angine d’origine bactérienne, vous devez effectuer un Trod, autrement dit un test rapide d'orientation diagnostique) ;
  • une méningite bactérienne.

 

Ils sont en revanche inefficaces contre les maladies d’origine virale telles que :

  • la rhinopharyngite, aussi bien chez l'enfant que chez l'adulte ;
  • la grippe ;
  • la bronchite aiguë ;
  • l'angine virale.

 

  À noter : lorsque vous souffrez d'une infection virale, les antibiotiques ne permettent pas de soulager votre fièvre, votre toux, vos maux de tête, vos troubles digestifs ou vos courbatures. D’autres types de médicaments sont conseillés pour adoucir ces symptômes, par exemple le paracétamol pour la fièvre et les courbatures. Le plus souvent, votre système immunitaire est capable de combattre seul les virus fréquents durant l’hiver. La guérison survient naturellement en 1 à 2 semaines. En cas de persistance ou d’aggravation des symptômes, il est toutefois recommandé de consulter votre médecin.

 

Les habitudes à adopter pour préserver l’efficacité des antibiotiques.

 

Santé publique France signale que l’utilisation répétée et inadaptée des antibiotiques a favorisé l’apparition de bactéries devenues résistantes à ce type de médicaments, ce qu’on appelle l’antibiorésistance. Des bactéries ont pu développer des mécanismes de défense, qui diminuent ou annulent l’action des antibiotiques les combattant. Certaines infections deviennent donc de plus en plus difficiles à soigner.

 

Pour lutter contre le développement des résistances bactériennes et préserver l’efficacité des antibiotiques, il est nécessaire d'utiliser ceux-ci uniquement sur prescription médicale. Puis, si votre médecin vous prescrit un traitement par antibiotiques, il est notamment important de :

 

  • respecter la dose, la fréquence des prises et la durée de votre traitement antibiotique, en fonction de ce qui est mentionné sur votre ordonnance ;
  • ne pas donner vos antibiotiques à quelqu'un d'autre, car chaque traitement est prescrit pour un type précis d'infection et adapté à chaque personne ;
  • demander conseil à votre médecin traitant si vous pensez présenter un effet indésirable à votre traitement (éruption, nausées...) ;
  • ne pas réutiliser un antibiotique une fois le traitement terminé, même si vous avez des symptômes qui ressemblent à ceux que vous avez eus précédemment.

 

Vous pouvez par ailleurs rapporter à votre pharmacien toutes les boîtes d'antibiotiques entamées ou non utilisées après la fin de votre traitement.

 

Publié le 02 février 2024 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

 
Créé le 16/02/2024

Minimum contributif : le plafond mensuel des retraites personnelles révisé  

Le relèvement du Smic au 1er janvier 2024 entraîne une révision à la même date du plafond des retraites personnelles exigé pour avoir droit au minimum contributif. Il est porté à 1 367,51 € par mois, soit une augmentation de 57,76 €. Le cumul de la retraite de base et de la retraite complémentaire ne peut dépasser ce plafond. Votre retraite totale est automatiquement alignée sur ce nouveau montant si vous avez droit au minimum contributif.

 

Le minimum contributif permet aux retraités du régime général de l'Assurance vieillesse de la Sécurité sociale qui ont cotisé sur de faibles salaires de percevoir un montant minimum de retraite de base, appelé minimum contributif. Si votre retraite de base est inférieure, elle est augmentée jusqu'au niveau de ce minimum.

 

Il y a 2 cas de figure :

  • Vous partez à la retraite avant 67 ans en ayant le nombre de trimestres exigé pour avoir droit à une retraite à taux plein et tous ces trimestres sont cotisés : le montant de votre pension ne peut pas être inférieur à 10 513,61 € brut par an, soit 876,13 € brut par mois.
  • Vous partez à la retraite avant 67 ans en ayant le nombre de trimestres exigé pour avoir droit à une retraite à taux plein mais tous ces trimestres ne sont pas cotisés :
     
    • si vous avez moins de 120 trimestres cotisés, le montant de votre pension ne peut pas être inférieur à 8 796,38 € brut par an, soit 733,03 € brut par mois ;
    • si vous avez plus de 120 trimestres cotisés, le montant de 733,03 € brut par mois est majoré en fonction de votre nombre de trimestres cotisés par rapport à votre nombre de trimestres total.

 

Toutefois l'attribution de ce minimum contributif ne peut pas porter le total de vos pensions de retraites (de base et complémentaire, tous régimes confondus, français et étrangers) au-delà du plafond mensuel des retraites personnelles.

 

Ce plafond est révisé aux mêmes dates et dans les mêmes conditions que le Smic. La dernière hausse du Smic au 1er janvier 2024 a porté le plafond des retraites personnelles à 1 367,51 € par mois contre 1 309 ,75 € auparavant, soit une augmentation de 57,76 €.

 

En fonction de votre situation, votre retraite pourra être automatiquement alignée sur ce nouveau plafond.

 

Exemple :

Si vous êtes né en 1962 et partez à la retraite avant 67 ans en ayant les 169 trimestres exigés pour avoir droit à une retraite à taux plein mais seulement 135 trimestres cotisés, le montant de votre pension ne peut pas être inférieur à 733,03 € + [(876,13 € - 733,03 €) x 135 / 169] = 684,71 € brut par mois.

  À noter : le minimum contributif ne doit pas être confondu avec l'allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa) L'Aspa et le minimum contributif sont deux dispositifs bien distincts, tant au niveau de leurs montants que de leurs conditions d'attribution. Et contrairement à l'Aspa, le minimum contributif n'est pas récupérable sur la succession du bénéficiaire.

 

 

Publié le 08 février 2024 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

 

 
Créé le 16/02/2024

Les soins dentaires sont désormais moins remboursés par l’Assurance maladie  

Les actes de soins dentaires sont dorénavant pris en charge par l'Assurance maladie à hauteur de 60 %, contre 70 % auparavant. Si vous disposez d’une complémentaire santé, celle-ci prend en charge la part de dépenses restante lorsque le contrat que vous avez souscrit le prévoit.

Un arrêté publié au Journal officiel le 14 octobre 2023 a indiqué que, concernant les frais d'honoraires des chirurgiens-dentistes et les actes relevant des soins dentaires, les assurés doivent prendre en charge à partir du 15 octobre 40 % des dépenses (sur la base des tarifs conventionnels), contre 30 % précédemment.

Par exemple, pour un détartrage, le tarif conventionnel est de 28,92 € : si vous êtes couvert par une complémentaire santé et que le contrat que vous avez souscrit le prévoit, celle-ci vous rembourse ce reste à charge.

À noter : les tarifs conventionnels sont ceux sur la base desquels s’effectue le calcul pour le remboursement d’un acte médical par l’Assurance maladie. Ils sont différents selon que l’acte médical est réalisé sur un adulte ou sur les dents permanentes d’un enfant de moins de 13 ans :

Précédemment, lorsque le taux de remboursement par l’Assurance maladie était à 70 %, le montant remboursé était de 20,24 € et le montant qui restait à la charge de l’assuré était de 8,68 € (30 % du tarif) ;
Désormais, avec le taux de remboursement par l’Assurance maladie fixé à 60 %, le montant remboursé est de 17,35 € et le reste à charge pour l’assuré est de 11,37 € (40 % du tarif).

 

Publié le 17 octobre 2023 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

 
Créé le 25/10/2023

Attention aux nouvelles arnaques au faux PV :  

L'Agence nationale des titres sécurisés (ANTS) met en garde les usagers contre une nouvelle escroquerie par mail. Des fraudeurs se font en effet passer pour l'Administration afin d'exiger par mail le paiement immédiat d'une amende de 35 euros sous peine de majoration. Aussi, en région parisienne, de faux «papillons» fleurissent sur les parebrises. Imitant ceux déposés par les agents de verbalisation, ces petits papiers invitent les automobilistes à scanner un faux QR Code renvoyant sur un site de paiement frauduleux destiné à récupérer leurs coordonnées bancaires.

L'ANTS rappelle que le seul site où il est possible de régler des contraventions en ligne est Amendes.gouv.fr.

Si vous êtes victime de ce type d’arnaque, n’hésitez pas à vous signaler auprès des services du ministère de l’Intérieur, sur le site Pharos ou grâce à l’application mobile Ma Sécurité, disponible sous iOS ou Android.

 

 
Créé le 17/10/2023

L’accord AGIRC-ARRCO s’autofinance.  

L’accord entre syndicats et patronat pour revaloriser les retraites complémentaires de 4,9% coûtera 4,5 milliards d’euros en année pleine, largement compensée par la hausse du salaire moyen.

L’abandon des malus sur les départs avant 63 ans (500 millions d’euros), le dispositif de cumul emploi-retraite (100 millions d’euros) et les mesures de solidarité pour les petites pensions (400 millions) seront, elles, financées par les excédents liés à la réforme des retraites.

 
Créé le 14/10/2023

Retraites complémentaires :  

Le projet d’accord national interprofessionnel (ANI) sur la retraite complémentaire AGIRC-ARRCO du 5 octobre 2023 est ouvert à signature des partenaires sociaux jusqu’au 11 octobre. 

Il faut attendre cette date pour pouvoir communiquer sur les décisions prises et validées par les partenaires sociaux. 

 
Créé le 08/10/2023

Une pension de réversion pour les orphelins à partir du 1er septembre 2023  

C'est une nouveauté apportée par la réforme des retraites, qui a été peu débattue et peu commentée, car elle a fait quasi l'unanimité: à partir du 1er septembre, il y aura une pension de réversion pour les orphelins et non pas seulement pour l'époux ou l'épouse survivant. C'est une nouveauté pour les pensions de base du régime général, mais certains régimes comme ceux des fonctionnaires ou la retraite complémentaire de l'Agirc- Arrco permettent déjà aux orphelins de toucher une partie de la retraite de leur parent décédé.

Le principe de cette pension de réversion a été posé par l'article 18 de la loi du 14 avril 2023 portant réforme des retraites: désormais, les enfants d'un assuré du régime général (salariés du secteur privé, contractuels de droit public, artistes-auteurs, artisans et commerçants) auront droit à une pension pour chaque parent décédé. Au-delà du principe, il reste encore beaucoup d'inconnues pour savoir ce à quoi pourront prétendre les orphelins d'assurés relevant du régime général.

Montant, durée, minimum de pension… des précisions attendues par décret pour la réversion d'orphelin.

 

Dans les grandes lignes, voilà ce que l'on sait :

  • cette pension d'orphelin sera égale à un pourcentage, inconnu à ce jour, de la retraite de base que percevait ou aurait dû percevoir son ou ses parent(s) décédé(s);
  • elle ne pourra être inférieure à un montant minimal ;
  • elle sera répartie à parts égales entre les orphelins ayant demandé à en bénéficier ;
  • la somme des pensions versées aux orphelins ne pourra dépasser la pension dont bénéficiait ou aurait pu bénéficier l'assuré décédé ;
  • cette pension sera temporaire : elle ne sera versée que jusqu'à un âge qui sera défini par décret, majoré d'un certain nombre d'années si les revenus du bénéficiaire sont inférieurs à un plafond, lui aussi en attente d'un décret ;
  • La pension sera versée sans limite d'âge aux enfants atteints d'une incapacité permanente au moins égale à un certain pourcentage et si leurs revenus ne dépassent pas le plafond défini ci-dessus.
 
Créé le 04/09/2023

Actualisation des taux de prélèvement à la source  

De nouveaux taux personnalisés de prélèvement à la source, actualisés suite à la prise en compte des revenus perçus en 2022, ont été réceptionnés dès juillet. Ils  seront appliqués à partir de septembre 2023 sur les paiements Agirc-Arrco. Des actualisations complémentaires devraient être réceptionnées prochainement ; ces  mises à jour plus tardives seront appliquées à partir d’octobre 2023.


Vous pouvez consulter le taux de prélèvement appliqué par l’Agirc-Arrco au paiement de votre allocation sur votre décompte de paiement disponible sur votre espace personnel Agirc-Arrco

 
Créé le 07/08/2023

Retraite minimum: votre pension sera augmentée le 9 octobre  

Près de 2 millions de retraités vont voir leur pension de  retraite augmentée à la rentrée prochaine avec l'entrée en vigueur de la réforme des retraites 2023. C'est l'une des conséquences de la mal nommée pension minimale à 1200 €, puisque celle-ci n'est pas automatique et va concerner très peu de personnes. Mais en choisissant, pour y parvenir, de rehausser le minimum contributif, le gouvernement va permettre à 1,8 million de retraités actuels, éligibles au minimum contributif, d'avoir une revalorisation allant jusqu'à 100 € brut mensuel maximum.
 

Le minimum contributif, c'est quoi?
 

C'est le minimum de pension en dessous duquel les Français qui ont le nombre de trimestres nécessaires pour une retraite à taux plein (ou l'âge du taux plein automatique, 67 ans) ne peuvent pas descendre. Son montant de base actuel est de 684 € et son montant majoré, pour ceux qui ont cotisé au moins 120 trimestres, est de 757 €.

Vous êtes concerné par cette revalorisation à certaines conditions:

- avoir eu une carrière complète (tous les trimestres requis pour votre génération)

- être parti à l'âge légal ou à l'âge du taux plein automatique, 67 ans

- au moins 120 trimestres réellement cotisés La réforme des retraites d'Emmanuel Macron et Elisabeth Borne comporte une hausse de ces minimum: le minimum contributif passe à 709 euros et le minimum contributif majoré passe à 847 €.
 

Minimum contributif: comment savoir si votre pension de retraite va être revalorisée?
 

Pour toucher les 100 euros brut mensuels, il faut que la totalité de vos trimestres soient cotisés (donc acquis par le travail), quel qu'ait été le montant de votre salaire lorsque vous étiez en activité. Si, pour remplir votre durée d'assurance, vous avez au moins 120 trimestres cotisés et des trimestres assimilés (pour maternité, maladie, service militaire, etc.), alors vous toucherez un prorata de 100 €, selon le nombre exact de vos trimestres cotisés par rapport aux trimestres requis.

Par exemple, Annie, qui devait faire 167 trimestres pour une retraite complète, qui en a cotisé 158, touchera un prorata selon ce calcul:

100 x (158/167) soit: 94,61 euros.

Attention toutefois, votre pension totale, c'est-à-dire pension de base et pension complémentaire ne doit pas dépasser 1 309 €, le montant maximal du minimum contributif, sans quoi, elle sera écrêtée pour ne pas dépasser ce montant.
 

Quand les pensions des retraités seront augmentées?
 

Cette hausse sera répercutée sur la pension de retraite de base de septembre, payée, pour le régime général, le 9 octobre. Près d'1 million de retraités verront cette augmentation dès le 9 octobre 2023. Les autres devront attendre quelques mois, le temps que les services de retraite reconstituent leur carrière: ils ont probablement liquidé leurs droits avant que minimum contributif et minimum contributif majoré ne soient instaurés et leur dossier est sous forme papier, ce qui allonge les délais.

Mais le ministère du Travail a précisé que ces retraités toucheront "ce montant dans les mois qui suivent, de façon rétroactive, sans perdre un euro".

 

Source : Notre Temps - Maud Pierron

 

 
Créé le 06/06/2023

En 2021, la France comptait 17 millions de retraités  


Dans l'édition 2023 de son panorama annuel sur les retraités et les retraites, la Drees met en évidence le poids croissant des retraites dans le pays. Les 17 millions de
retraités touchent en moyenne 1 366 euros de pension mensuelle. Les nouveaux retraités font valoir leurs droits à la retraite à plus de 62 ans. 
Tandis qu'une nouvelle réforme reporte l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans, l'édition 2023 de "Les retraités et les retraites" de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees) sur les retraités et les retraites propose un panorama complet permettant de mieux appréhender la question des retraites.
Progression continue du nombre de retraités.
Fin 2021, la Drees estime à 17 millions le nombre de personnes retraitées de droit direct d'au moins un régime français de retraite. Cet effectif correspond à 100 000
personnes de plus que l'année précédente. En prenant en compte les réversions, qui sont le plus souvent versées aux veuves, plus de 18 millions de personnes touchaient une pension de retraite à la fin 2021.
Le rythme de progression est cependant inférieur aux années précédentes. Entre 2015 et 2020, la France comptait près de 185 000 retraités supplémentaires par an.
Cette tendance s'explique principalement par le calendrier de mise en place de la réforme des retraites de 2010 qui instaure un report progressif de l'âge légal
d'ouverture des droits. 
Baisse du pouvoir d'achat des pensions de retraite.
Fin 2021, la pension brute mensuelle de droit direct des retraités s'élève à 1 420 euros par mois soit 1 366 euros net. En incluant les réversions, la pension de droit direct servie atteint 1 612 euros brut avec un écart réduit à 24% entre les hommes qui touchent en moyenne 1 719 euros et les femmes 1 305 euros.
En conséquence de l'inflation, la pension brute moyenne tous régimes confondus des personnes déjà retraitées a été revalorisée de 0,4%. Cependant le pouvoir d'achat des retraités a diminué de 1,3% en euros constants par rapport à 2020 à la suite à d'une "accélération des prix de +2,8% ne se répercutant sur la revalorisation des pensions qu'en 2022".
Le niveau de vie médian des retraités reste légèrement supérieur à celui de l'ensemble de la population. La baisse de leurs revenus est contrebalancée par le fait
qu'ils ont plus rarement des enfants à charge et davantage de revenus du patrimoine.
Recul de l'âge de départ à la retraite.
Fin 2021, 27% des personnes de 61 ans résidant en France sont déjà à la retraite, tandis que 15% de celles de 65 ans n'en bénéficie pas encore. En moyenne, l'âge de départ à la retraite atteint 62 ans et 7 mois pour les personnes qui résident en France, avec une légère différence entre les hommes qui partent à 62 ans et 2 mois et les femmes vers 63 ans. 
En progression continue depuis 2010, l'âge de départ à la retraite a augmenté de 2 ans et un mois. Il dépasse l'âge légal jusque-là fixé à 62 ans.

 

Vie Publique - La Rédaction - 20 juin 2023

 
Créé le 07/08/2023

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